Le travesti beur Bilal Hassani a-t-il une chance de gagner l’Eurovision chez les sionistes ?
19 mai 2019 10:15, par sevDe quoi "l’Eurovision" (!) es-elle le nom... et le symptôme ?
Grand’ messe de la vacuité créative, l’€vision est avant tout une manifestation du spectacle permanent fait pour occuper l’espace cortical de masses zombifiées. Délocalisée vers le seul lieu d’un apartheid toléré par les mondialistes pervers, cette kermesse pour ados hirsutes est le carrefour du gadget sonore univoque, laid, éphémère parce que sans aucun talent réel, artificiel jusqu’à la caricature.
Qu’un pseudo chanteur travesti à la voix inexistante amplifiée par une technologie totale qui tue absolument toute atmosphère d’écoute véritable vienne se trémousser dans ce supermarché du néant est parfaitement représentatif de ce que visent les mondialistes de la Société Globale Ouverte à tous les vents mortels.
Tel Aviv, capitale insignifiante par sa petitesse d’un pays laboratoire du pire est en effet le seul endroit où peut se répandre cette hystérie marchande où l’artifice masque la pire de la cruauté post moderne entretenue par des fous qui, eux, récoltent les shekels, les $, les € et la violence de la crétinisation globale.
Madonna, grande prêtresse bidon d’une église satanique de pacotille, est également parfaitement dans son rôle. Idiote surpayée d’une purée sonore, déguisée en reine noire du mal, poussant la laideur symbolique jusqu’au grotesque, dénuée d’intelligence hormis celle d’être le porte manteau de l’idéologie de l’inversion de toutes les valeurs, sa prestation aussi mégalomaniaque soit-elle, ne détruira jamais l’authentique Eglise qui, on le sait, renaîtra de ses cendres lorsque ces damnés du pire auront l’âge d’entrer dans les Ehpad pour riches séniles.
Métaphore de notre époque en déliquescence, rien ne peut arrêter la chute d’une civilisation arrivée à son stade d’effondrement. L’Occident moderne sursaute comme il peut avant l’expire définitif. Et ce n’est pas l’Orient qui reprendra la flambeau puisqu’il imite pathétiquement la modernité maladive née quelque part entre la vieux monde et le nouveau. C’est même sans doute l’Orient qui bouclera la grand cycle.
Observons, analysons pour mieux saisir les manœuvres des grands malades aux manettes de cette chute organisée et gardons l’esprit acéré pour continuer la bataille des nobles et des courageux.