Juan Branco, le gendre idéal de l’insurrection
18 mars 2019 10:22, par anonyme
Sur le fond, il pose la question de savoir ce qu’on fait de ses ’’études’’ dans ce triste endroit du monde (une espèce de vieille caserne aux arbres amputés, ou même les chiens s’ennuient...). Ce qu’il fait des siennes, ce qu’en font celles et ceux qu’il désigne. Ce qu’il démontre, ce sont les ’’études’’ comme accès à la rente définitive de situation ; dans un appareil d’état sclérosé par une faune qui n’a que cette ambition ; prête à y sacrifier tout ce qui n’en fait pas parti ; que toute ’’liberté’’ exaspère s’ils/elles n’en peuvent battre monnaie. Les faits démontrent assez le niveau de compétence et d’efficacité de ce que cette faune défend, qui reproduit tout en le niant, l’éternel modèle rudimentaire d’une organisation sociale dominé par les appétits les plus primitifs et les plus bas. Mérové ressuscité. Le Parasitisme comme modèle de comportement. Un corps social succombant sous la phagocytose de prédateurs empruntant toujours plus au nom de leurs victimes (ils osent tout), pour soutenir leur standing et stipendier leur garde prétorienne. Comment voudrait-on que cela se terminât ?