Le désir d’isolement est de fait une réaction normale puisque l’individualisme est très anti-naturel sur le plan humain : L’homme ( les hommes) a toujours lutté ensemble et contre.. L’isolement représente justement le "ensemble et contre". C’est une chrysalide, une projection intériorisée d’un groupe- initiatique -qui n’existe plus. Tant pour l’homme que pour la femme.
Si tu veux reprendre ta vie en main dans le Capital omniscient, il n’y qu’une seule voie : la voie active du Capital.
L’emploi, à bien y regarder n’est pas une voie, mais peut être un tremplin pour créer son métier. En passant outre le fait de l’immense difficulté de la chose ; pas la peine de chialer !
RSA : te paye pour dormir en chenille.
Accepte d’être un prédateur, en sachant trier le bon grain de l’ivraie, tant dans ce que tu produis que dans ceux que tu sélectionnes pour écouler ton savoir ; comme un sachant qui refuserait un psychotique dans son cabinet de philo-analyse parce qu’il faut savoir accepter de ne pas être Dieu, et que tout n’est pas de ton ressort.
Accepter d’être ce que tu es : un chasseur, et rien d’autre. Même la jonquille tire sa moelle en la volant à la racine d’un autre. La jonquille n’est pas une méchante salope.
C’est ça qu’il faut se remémorer, parce que c’est la mémoire qui nous a été volée par le discours sucré de l’économie politique de la sociale démocratie domesticatoire qui nous dit : accepte de TE faire voler par la jonquille politisée.
Nous sommes sous le dogme d’un paradigme paradoxal, l’Homme est bien plus puissant que lui : on n’attire pas les mouches avec du vinaigre, ce serait improductif, alors enfile ton art-mur. Oui !.. Tu l’es !
Tu es romantique ? Prends les armes : c’est à dire combat l’ennemi sur son propre terrain : pourquoi ? Pas d’autres choix.
Fais que tes armes soient l’intelligence vraie, gomme tes préjugés, tu gommeras ta peur, tu créeras ton réel en passant par la réalité faussée du système en devenant l’anomalie de ce système qui réoriente son cour en étant ce que tu es toi-même : L’incarnation du vrai, du bon et du juste. S’il faut te couper les cheveux, revêtir des vêtement improbables, avoir des attitudes étranges, fais-le ; tu verras plus tard si c’est trop ou pas assez. En une phrase "Deviens qui tu es".
Et on se fout de qui a dit quoi ! Cesse de vouloir dé-battre ! Bats-toi !
Le plan de la Cité est au fond de toi depuis le début, cesse de l’obscurcir.
Ce qui manque à ce monde : c’est Toi !