Gilets jaunes à Toulouse : enquête sur la fuite d’une vidéo embarrassante pour la police
3 février 2019 00:06, par Sedetiam« Quand je dis qu’il faut aligner deux trois bastos. »
En laissant de côté les troupes d’élite (et les passionnés), sans parler des snipers contemporains à 5m au LBD, à l’heure où les budgets étaient plus conséquents - car la rapacité des nantis et des banksters n’avaient pas encore atteint l’apogée de la courbe des montants détournés que nous avons connus - mais bien qu’insastifaisants pour parfaire l’entraînement, il était déjà extrêmement compliqué, à la fin du siècle passé, de faire aligner « trois bastos » sur cibles immobiles, à ces espèces de glands, que ce soient celles du ministère de l’intérieur (Silhouette Police 51 x 71 cm) ou celles du ministère des armées (SC n° 2 avec visuel 45 x 95 cm) : nous n’évoquerons pas « l’alignement », en terme de groupement H+l, ce serait à mourir de rire, bien qu’un humoriste controversé nous y invite toujours plus (à en rire).
De quoi écrire un livre.
Ces types-là, à l’instar de la Nénette qui s’exclame, du reste, réagissent à l’affect : ce qui en fait des « zéro » au pas de tir, lequel exige un sang-froid et un calme à toute épreuve : voilà, au-delà des ordres reçus par leur hiérarchie, ce qui en fait des dangers pour tous.
Ça n’est pas faute d’avoir envoyé un paquet de ces glands qui ne se sentent forts qu’avec les burnes du groupe (et leur calibre), aller quérir le rouleau de ligne de mire (à un autre stand d’instruction qui renvoyait les lascars à un autre et ainsi de suite) comme on envoie l’apprenti chercher la lime à épaissir et autre marteau à bomber le verre : de sorte, au-delà d’en sourire, à offrir une pointe d’humilité et de conscience..
Mais que voulez-vous : le calibre (comme la Tour Eiffel pour certains) reste un symbole phallique... Et quand ils se trouve des poules dans le poulaillers, c’est pire encore : intenable !