Victimisation féministe : l’erreur de Muriel Robin qui héroïse Jacqueline Sauvage
8 octobre 2018 12:09, par pierreJacqueline affirme avoir été sous l’emprise d’un mari violent, et qu’elle n’a pas,
pour ce motif, pu porter plainte contre lui
Jacqueline a reconnu être allée, en 1992, au domicile de Laurence Cocusse, sa rivale
à l’époque, pour lui faire peur avec une arme
et l’avoir poursuivie jusqu’à la gendarmerie31.
Après tirage au sort, le jury populaire se compose de trois hommes et trois femmes,
avec deux jurées suppléantes. Jacqueline Sauvage
est accusée de meurtre avec préméditation.
Selon l’administration pénitentiaire, elle est capable d’être méchanté. Le personnel
de la prison la décrit comme autoritaire4,
indiquant qu’elle refusait les ordres
Lors de la deuxième journée du premier procès, le 27 octobre 2014, une voisine déclare
que son mari avait été giflé par Jacqueline
Sauvage4. Elle affirme également qu’elle la suivait et l’invectivait4.
Ainsi, le 28 octobre 2014, l’avocate générale la décrit comme étant une femme de caractère, intelligente, qui a toujours travaillé4. C’est aussi une femme qui est capable de répondre, de s’en prendre à la maîtresse de son mari, qu’elle va menacer
avec un fusil de chasse35, d’insulter une voisine, et faire preuve de violence4.
Selon l’avocate pénaliste Florence Rault, la « présentation d’une fratrie dévastée
par le caractère monstrueux du père ne résiste pas à l’examen du dossier8. »
pourquoi Jacqueline Sauvage est restée 47 ans auprès de son mari violent
3 tirs dans le dos invalidant la légitime defense
On ne nie pas ce comportement violent. M. Norbert Marot en est pleinement responsable.
Il y a tout de même des réserves factuelles sur ces violences, car aucun élément
matériel ne les atteste. Il y a des témoignages, mais peu d’éléments matériels