À l’hôpital de Saint-Brieuc, les soignants ne supportent plus les agressions
24 septembre 2018 15:48, par BrigitteLa violence est bilatérale, elle est devenue endémique en très peu d’années. Les anciens humains qui ont gardé leur individualité avec leur conscience ne sont plus supportés par le nouveau peuple des robots.
La violence est médicale, la violence est dans la rue, la violence est à l’école, dans le bus (si on vous y laisse monter)...
Il ne faut surtout pas aller aux urgences : ce sont souvent des heures d’attente, donc l’inverse d’un service d’urgence auquel on s’attend, sauf si votre médecin vous envoie lui-même et appelle le service pour signaler votre arrivée. Je l’ai vécu lors d’une admission aux Quinze Vingts pour mes yeux.
Utiliser la vitamine C à haute dose, l’argile verte, etc. tous les moyens qui nous permettent d’éviter d’être en situation d’extrême urgence et de dépendance lors d’un accident de santé ou même d’une rage de dents.
Prendre conscience et confiance en nos capacités d’auto-guérison, ne plus nous sous-estimer, faire de notre souveraineté une priorité, ne pas remettre notre santé entre les mains d’inconnus qui sont peut-être lobotomisés par le système.
Si on est hospitalisé : la violence hospitalière est parfois le lot quotidien.
Hélas je l’ai vécue aussi : 2 jours après l’opération, coup de poing sur la couture verticale de 35 cm de long sur mon ventre "pour vous empêcher de tomber", perfusion de morphine forcée, au mépris total de ma volonté, pas droit à des repas même en pesant 45 kilos "parce que la diététicienne n’est pas encore passée" etc, etc... Aucun préfet appelé à mon secours.
Vous avez l’impression d’avoir perdu vos droits civiques, et peu à peu vous vous apercevez que ce n’est pas une impression.