Emmanuel Macron sur la SNCF : "Nous irons jusqu’au bout"
13 avril 2018 01:30, par novaCombien étaient-ils des 13 pourcent à écouter ce flot de mensonges dans la droite lignée de nos 40 dernières années de politique française.
Je crois qu’on a vendu nos autoroutes pour assurer nos retraites à une époque déjà payé et très très rentable à ce jour, en 1973 la France a arrêté d’emprunter pour se financer à la Banque de France pour verser depuis des intérêts aux banques privées (d’ailleurs celà représente combien de notre dette en retirant les intérêts de notre dette elle s’ arrête quand d’ailleurs la dette pourra t-elle payer l’enterrement de la France ? ) puis oui c’est quoi y a trop d’hôpitaux, de collèges, de tribunaux, d’hôtels de police, de routes à rouler, de lignes de chemin de fer pour tous ces sans-dents ?
Discussion franche d’un représentant de l’État et d’un sans dents sur le quai d’une gare vouée sans doute à fermer j’avais ouvert mon micro
Doucement Monsieur ça tourne à l’insulte de votre part dans l’action de nos gouvernements
Oui c’est vrai je manque d’éducation d’argent pour me payer un beau costard mais pas de clairvoyance
On fait tout notre possible Monsieur pour sauver la situation mais vous comprenez avec cette dette dette ettte les dés sont pipés
Je suis content monsieur à vous de me le dire c’est vrai j’y vois plus grand chose depuis que j’ai plus de voiture et de mutuelle à ma vie de retraitée en France profonde alors là si vous allez me retirer le train je fais comment pour y voir ma mère malade monseigneur
la meilleure solution pour vous maintenant à vos problèmes c’est l’internet et le haut débit pour voyager et voir vos proches
Bah merci monseigneur j’avais pas pensé à ça
Moi non plus d’ailleurs au voyage à coup de bits dans les tuyaux de 0 à 1 je sais toujours pas compter plus loin à la connerie de l’irrespect du peuple français
Le sommeil est profond à la France de la désinformation de l’abrutissement d’une léthargie d’un peuple en souffrance au bord du chacun sa peine à son autisme lénifiant ma tristesse n’a plus de mots.