La science dure du hard porn
15 février 2018 23:32, par Cap Falcon
A ceux qui parlent de trouver l’amour, c’est peut-être moi qui ne suis pas véritablement homme (ou eux) mais il m’est instinctivement impossible de "ba*ser" une femme dont je serais totalement amoureux. C’est tout l’inverse en revanche pour la femme.
Le passage sur l’effet Coolidge est hyper intéressant, le mâle est porté naturellement (génétiquement) à vouloir multiplier les génitrices. Angoisse reproductive qui témoigne de son infériorité ou plutôt fragilité biologique.
Pour le reste, le porno est évidemment très mauvais, comme les écrans, smartphones, télés etc... Mais ils ont quand même bon dos. Les maladies physiques et psychiques, la dévirilisation etc... Sont avant tout dus aux pollutions diverses (électromagnétiques, hormonales, vaccins...) et à un manque d’exercice physique.
Je passerais aussi sur l’énorme impact de la "libération de la femme" qu’a sur les hommes.