La France abandonne ses pauvres pour de fausses victimes
24 février 2018 13:36, par MagnaVeritasChute constante depuis plus d’un demi-siècle, on est au courant. Avec une accélération sur la pédale sous macron.
Cette situation est tout à fait voulue par les élites de Le Siècle : il faut bien comprendre qu’il s’agit d’une « soft war », une guerre en douce, une guerre des nerfs, à la sournoise.
(Les sociétés transnationales, bla bla, on connait la musique mais ce ne sont pas seulement elles : ce sont aussi les friqués français qui jouent de la lyre pendant que Paris brûle. Pas tous les riches, mais bon nombre de riches Français sont de faux Français qui ont abandonné depuis des générations leur patriotisme. Il faut voir quelles sortes d’ordures ont trouve dans les bonnes écoles françaises.)
Reprendre la main sur le politique nous aurait permis d’améliorer les conditions de vie des nécessiteux. Tout est politique. Tous les jours, la politique décide de notre bon moral.
Moi, c’est pas ma carte d’électeur que j’aimerais brûler mais mes papiers.
Bref, ce que je vois :
1. Ils poussent les agriculteurs au suicide, afin de racheter leurs terres à bas prix.
2. La paupérisation se généralise chaque jour un peu plus, ce qui est une conséquence évidente, prévisible et naturelle de la politique qui saigne la France depuis plus d’un demi-siècle : réduction du « marché du travail » par la désindustrialisation, saturation de ce « marché » par l’immigration.
3. Destruction des familles.
4. Se retrouver SDF = points 2. + 3. ; ils ne le disent pas, mais beaucoup de SDF sont des enfants de la DASS ; cette société souffre d’un grave manque de bonté.
Quelques pistes :
1. Faire de l’achat direct aux agriculteurs et éleveurs, pêcheurs, au marché, sur internet, etc.
2. Passer le permis, si on ne l’a pas. C’est la base.
3. Oublier les études. Si vous n’avez pas d’oseille, faites une reconversion professionnelle. Mieux vaut serrurier qui travaille qu’universitaire au rsa. A moins que vos enfants soient exceptionnels, faites-leur apprendre un métier, oubliez les études.
Ce qui est enseigné aujourd’hui est du vent. Il manque deux connaissances-clefs aux Français : une méthode pour voter et une pour faire de l’oseille. Peut-être aussi une troisième pour être pragmatique.
4. Partir pour mieux revenir : il peut y avoir de meilleures perspectives à l’étranger.
5. Tisser un réseau d’entraide petit à petit.
6. Avoir bon moral, d’une manière ou d’une autre.
En somme : devenir solide dans sa vie pour résister aux attaques du terrain hostile qu’est devenu la France.
MV