Macron, le "pont aérien" et la tragédie de Saint-Martin
14 septembre 2017 16:32, par Tatananick45Je constate que vous donnez la parole à des gens qui ont subi le déchaînement de la nature en zone tropicale. Ceux qui sont habitués ( les autochtone) ne sont absolument pas traumatisés, il ont des gros dégâts, mais ils ne vont ni mourir de faim , ni de soif, ni de maladie, il râlent pour le principe, ils attendent des "aides" comme d’habitude, mais ils ont tout de même pris leur balai et leur courage à deux mains . Ceux qui ne sont pas autochtones ont vu leurs illusions de vie tranquille sous les cocotiers s’effondrer. Leurs investissements défiscalisés dans ce qu’ils pensaient être une usine à cash touristique se sont( provisoirement ?) envolés. Les barrières sociales qui leur permettaient de vivre sans croiser un noirs sont provisoirement abolies : c’est la panique...Ceux qui ont réussi à se faire évacuer retrouvent très vite leurs réflexes de citoyens métropolitains : ils râlent parce qu’il y a du retard dans les transports... Non je n’ai pas pleuré, il n’y a pas de quoi, je regrette simplement pour elles ,que des familles aient confié leurs enfants à une malade mentale qui est incapable de se rendre compte qu’elle est en sécurité, malgré l’inconfort de la situation et qu’elle devrait avant tout avoir une attitude rassurante pour les enfants...