Pour comprendre l’impact anthropologique profond de la pornographie, et plus largement de l’érotisation de l’espace social, je conseille de lire le premier tome des Confessions de Rousseau, ou bien encore sa Nouvelle Héloïse. Le contraste donne le sentiment d’un véritable changement d’espèce : nous sommes devenus l’homo masturbator (excusez mon latin).