Un bilan personnel après un an sans viande
24 mai 2016 16:00, par In medio stat virtusLes végétaliens et leur idéologie mortifère* n’ont rien à voir avec l’idée d’une réconciliation nationale. Avec eux, on tombe au contraire dans un système de pensée typiquement mondialiste. "Nous on a raison car on milite pour plus de droits pour les homo/animaux/femmes, les autres sont des fascistes." Finalement on en arrive toujours aux mêmes absurdités qui servent si bien le système. C’est l’Homme le problème : le patriarcat, la violence masculine qui veut manger les pauvres petits animaux innocents…
L’agroalimentaire à tout à gagner à un passage en forcing au végétalisme contrairement à ce que ce même mouvement proclame. Plus simple à produire ; avec en plus la possibilité de rendre les sols stériles, avec l’exemple d’un coin au Mexique si ma mémoire est bonne, qui ne voulait pas des OGM américains mais qui s’est retrouvé avec des sols stériles -oh ! comme c’est bizarre- et donc condamné à acheter les semences OGM. C’est plus simple de spéculer sur du fourrage OGM et d’en refourguer à une population tellement émasculée qu’elle n’arrive même plus à manger de viande sans tomber dans un sentimentalisme à deux vitesses que de produire de la viande de qualité. Quelle manne pour le système qui par la même peut mettre fin à tout un savoir faire traditionnel et culturel qui fait la particularité de chaque région, sous couvert de bons sentiments. Sans compter l’obsession des vegans pour tuer dans l’oeuf les mangeurs de viandes : Ne plus manger de viande oui ! L’eutanasie et l’avortement oui ! Bah oui puisqu’on vous dit que c’est l’Homme le problème !
A lire certains commentaires, on croirait que le summum de la société aboutie serait le modèle Indien, et bien non merci et dans tous les sens du terme. Les animaux sont des animaux. L’Homme c’est l’Homme. La France c’est la France. Alors arrêtons deux minutes avec ces pleurnicheries. Retournons à une agriculture et des élevages à taille humaine selon le modèle traditionnel, faites pour nourrir nos populations (et non pas pour exporter et spéculer), ajoutons à cela une consommation raisonnée et locale de viande et le problème est réglé. Quant à ceux qui ne veulent pas manger de viande, n’en mangez pas et foutez la paix à l’assiette du voisin.
* Pour ceux qui aiment rire ; allez donc jeter un oeil aux discours des antispécistes. Un mélange de Chiennes de garde et de New Age, avec tous les sophismes et envolées hystériques à la clef. ;-)