Les mahorais ont goûté au fruit défendu de la société de consommation. La jeunesse l’a même dévoré à pleine dents.
Pour une société traditionnelle animiste et musulmane, qui a jusqu’à peu vécu en harmonie avec son environnement naturel le progrès est à double tranchant.
De belles infra structures c’est bien, leur maitrise technique et financière c’est mieux.
Il semble qu’ils soient loin du compte.