Le pape François à la synagogue de Rome
19 janvier 2016 11:29, par MikaCe n’est qu’une question de temps avant le retour de la vraie foi dans l’Eglise catholique qui n’en a été amputée que partiellement. Le progressisme (drôle de nom) de certains prélats catholiques à ses limites lorsqu’il y a une profonde baisse dans la foi.
C’est le cas des progressistes qui se réfèrent aux hommes, avant Dieu. Ils n’ont donc plus la foi, leurs sort et scellé depuis le début. Les jours sont comptés pour les infiltrés du Vatican et les profiteurs de l’Eglise. Il est fort à parier que les vrais hommes d’Eglise ont identifiés le mal en son sein depuis un moment ; les "progressistes" comme le démontre certains faits du pontificat de Benoit XVI n’ont pas réussi à s’imposer complètement.
L’Eglise qui est au centre des attaques des mondialistes depuis plus de deux siècles.
Bien que très affaiblie, elle est toujours là malgré l’apparente facilité de détruire un système pyramidale (qui est paradoxalement à la fois sa force et sa faiblesse) avec le Christ tout en haut bien sûr.
Malgré les révolutions du passé, le laïcisme, les guerres mondiales, le communisme (en particulier italien), l’avènement et la chute de différents empires plus en arrière, le modernisme, le consumérisme, la dictature de la raison sans Dieu...
Tant d’occasions d’en finir avec l’Eglise, tant de fois où elle a été attaquée jusqu’en son sein... En vain. C’est assez étonnant pour ne pas dire miraculeux. Cela confirme q’elle dérange particulièrement les mondialistes.
La vérité dérange dit-on...
Le point sur la raison sans Dieu est le plus important de très loin, car il est au centre de la crise de l’Eglise. Benoit XVI l’a identifié depuis longtemps malgré que beaucoup ne l’aiment pas. Il faut suivre son parcours depuis le début.
https://www.youtube.com/watch?v=WDr...
Il parle français ici en 2001 à Paris, sur la raison et la foi.
Ainsi que le discours de Ratisbonne ;
https://w2.vatican.va/content/bened...
Est-ce pour cette raison qu’il a été forcé de démissionner ? Peut-être, entres autres. Il y a des rumeurs comme quoi certains cardinaux progressistes (Kasper, Danneels) l’auraient fait chanter pour mettre l’argentin à sa place.
Benoit XVI a ouvert une brèche malgré tout ce qu’on peut dire sur lui. Son pontificat qui semble apparemment effacé par rapport à François et Jean-Paul 2 est en réalité bien plus lourd de sens et révélateur. Le temps le lui rendra.