Capitalisme et gynécocratie – Conférence de Félix Niesche à Lille
16 janvier 2016 00:37, par SevLa Bête est lâchée et ceux qui l’ont poussée à sortir sous le prétexte imbécile de "libéralisation de la femme" savaient parfaitement ce qu’ils faisaient.
De tout temps, les hommes ont su que la puissance libidinale d’une femme est 100 fois plus violente que celle d’un homme... d’où leur préoccupation légitime de canaliser cette puissance. Les récits tragiques de la mythologie grecque nous en donnent de nombreux exemples. Quand une femme est lâchée, elle cesse d’envelopper, de nourrir et de chérir et devient très vite une dévoratrice, vire une guerrière familiale. Exagérée et caricaturaux mes propos ?
Pas tant que ça... La puissance des femmes prend naissance dans leur ventre et cette force est d’une violence inouïe. C’est l’une des raisons pour laquelle le capitale à voulu récupérer cette force pour la recycler dans la surconsommation où les femmes excellent. La castration vient logiquement ensuite.... elles voudront toujours plus et leurs exigences viscérales maquillées sous le masque du "soin" (care pour les globishiens) ouvrent toujours in fine les portes à la barbarie, parce qu’une femme sans homme (dont le rôle est de contenir et limiter cette force précisément) transforme le rapport au monde en rapport infantile et donc violent.
Le féminisme n’est pas une invention des femmes mais celle d’une poignée de mecs assez pervers et intelligents, fort bien informés sur ce phénomène biologique, qui avaient tout intérêt à "libérer" cette puissance féministe afin d’anéantir les révoltes masculines, viriles, actives et révolutionnaires. La femme n’est jamais révolutionnaire, elle est conformiste et donc aisément manipulable. C’est pourquoi, tout comme les LGBT, en manipulant leur énorme frustration, leurs revendications infantiles et leur tendance à la victimie, le Système à pu créer de toute pièce une nouvelle armée pour servir ses intérêts privés.
Et c’est une femme qui l’écrit !