Bruckner fournit régulièrement à la presse américaine (Newsweek, etc.) des articles entièrement consacrés au "french bashing" où il vide son sac - bien chargé - sur la France et les Français.Là, c’est une version très soft, recyclant les vieux clichés sur le "paradoxe" du pays conservateur et inréformable voué aux révolutions sanglantes, les rouge-bruns, etc. Au moins il réconciliera tout le monde dans la détestation de "ce pays", comme ils disent, puisqu’il n’y trouve rien à sauver sinon un certain "charme"...
En ce qui concerne les réformes "libérales" de bon sens (baisse des charges pour les entreprises qui créent de l’emploi, baisse et simplification des allocs, etc.) je crois qu’aucun français doté... de bon sens, ne s’y oppose(rait) : le blocage vient en réalité de la classe politique qui subventionne cyniquement certaines parties de l’électorat pour être réélu, et sûrement pas du peuple français.
Donc résumons : les Français sont des bourriques mais il faut quand même les ménager, car on ne peut plus compter sur les "résistantialistes" de gauche (bon terme, j’avoue) et les antiracistes institutionnels qui ont la fameuse lutte antifasciste de retard.