Entretien avec Marius, ancien instructeur des commandos marine
6 novembre 2015 12:32, par Rémi Lobry
Marius parle (trop ?) vite. Une vraie mitraillette. C’est plutôt signe que son cerveau fonctionne bien parce qu’il parle vite et bien. Mais on en ressort trempé. Marius gagnerait peut-être en efficacité en marquant des pauses, en plaçant quelques virgules dans son phrasé. Entendons nous bien : avoir un débit rapide ne veut pas dire être bavard.