L’Allemagne des années vingt jusqu’à l’élection du chancelier Hitler était devenue un immense lupanar à ciel ouvert. Toute l’Europe des vainqueurs et les vicieux de l’avant garde de l’époque (quand même) venaient y assouvir leurs plus bas instincts pour des prix défiants toute concurrence. Dominique Venner l’explique très bien dans son livre : le siècle de 1914. Cela ne pouvait pas durer, dans un pays d’ingénieurs, d’industriels, de musiciens, de philosophes de paysans, humilié par le traité de Versailles et la finance cosmopolite. L’arrivée d’Hitler au pouvoir a été un vent de fraîcheur sain et vivifiant qui a chassé l’air nauséabond que respirait ce grand peuple. Le niveau de l’ouvrier allemand était bien supérieur dans l’Allemagne nationale socialiste que dans la France du front populaire.