Renseignement : désastreuse dérive du gouvernement Valls sur la surveillance
17 mars 2015 22:48, par PLBLes système dictatoriaux s’appuient sur une surveillance croisée : verticale et horizontale. On peut dire sociétale et sociale. Par le biais des financements octroyés suivant l’orientation politique, sexuelle, l’appartenance ethno-culturelle , des demandeurs ; on contrôle les associations suivant ces deux axes.
Ainsi, les associations de quartier, les clubs de sport, les divers bureaux d’aide, du fait de leur ancrage géographique servent principalement au contrôle « social », autrement dit au contrôle des classes. Les associations défendant : féminisme. « droit » des homosexuels, anti-racisme servent au contrôle sociétal et on généralement un ancrage géographique diffus : recendicalisme homosexuelle, associations religieuse, féminisme etc..). De la même manière, la presse, dont les titres correspondent aussi à un découpage vertical et horizontal : presse des jeunes, presse de classe moyenne, presse ouvrière, presse féminine, presse masculine, presse homosexuelle etc.. ; est aussi contrôlée par les subventions accordées par l’État (Le Monde, Libé, Charlie Hebdo sont des exemples évident).
Le seul média de masse qui, à ce jour, échappe en grande partie à la tutelle financière oligarchique, est l’internet. Évidemment, ça ne saurait durer. Il y a fort parier que dans les années qui viennent, la publication d’un blog public sera soumis à autorisation légale, comme l’est la publication d’un journal. (Il y a dejà une loi de ce type en Italie, je crois.) Le but n’est pas de réguler, nous l’avons compris, il est de contrôler et d’empêcher la mal-pensance.
Le danger pour ces tyrans que nous avons élu est l’union de classe, au mépris des différences sociétales. L’arrêt même momentané de ce mouvement brownien au sein des classes exploitées est pour eux l’ultime danger ; s’opérerait-t-il que c’est du haut de piques que leurs yeux se fermeraient bientôt sur la contemplation de la populace.
Comme il sont technologiquement en retard, leur première mesure consiste donc a analyser ou les points de rassemblement peuvent se produire, afin de les circonscrire et les inhiber. D’où flicage généralisé : il faut identifer les pertubateurs.