"Apologie du terrorisme" : un enfant de huit ans entendu par la police à Nice
30 janvier 2015 11:51, par noelIl s’agit avec cette affaire C****** de provoquer une catharsis, une réaction collective de libération des passions, de leurs liquidations. Comme aussi celle des affects provoqués par l’événement lui-même. La messe du 20 h, véritable chaudron et lieu sacrilège de l’autel médiatique insinuant le venin de la haine de soi et des autres, a préparé de longue date, la déconnexion des cerveaux.
Ces émotions artificiellement générées longtemps refoulées dans le subconscient et responsables d’un traumatisme psychique, à savoir celui du viol permanent de la conscience collective du peuple français et sa population, ont besoin désormais d’être expurgées concrètement dans des victimes désignées comme « bouc émisssaire ». Ça ne vous rappelle rien ?
Qu’importe votre âge, qui vous êtes ? Lorsque la folie s’empare des masses , aucun argumentaire n’est valable puisque la Raison ne fonctionne plus ! Elles sont sous l’emprise de l’ensorcellement narratif des sirènes médiatiques. Tous les personnels des institutions de l’Etat donc les fonctionnaires sont alors sommés d’être au garde à vous ! On le voit avec le zèle de cet instituteur. Et en plus, si cet élève était déjà dans son colimateur (?), on peut penser à un règlement de compte perso ....
Cette « masse anonyme » aura créé son égrégore suffisamment puissant sur lequel il suffira d’actionner à l’heure dite sur « le slogan ou mot d’ordre » détonateur !
Si on lui en donne l’occasion, elles pourront dès lors vomir sa haine inexprimable avec toutes les justifications inimaginables. Ses rancoeurs, ses malaises, ses problèmes, ses angoisses, tout doit passer par ce canal vengeur non pas pour désigner les véritables responsables et coupables de cette situation car dans l’ombre, mais désigner d’avance les non C****** !
Et même, si les consciences personnelles se disent intérieurement « non, je ne veux pas cela », elle sera emportée par l’emprise collective. Ce sera la même attitude qu’un passant peut avoir en face d’un autre qui s’écroule dans la rue devant lui. J’y vais ou j’y vais pas le secourir. Je dépasse ma peur de regard des autres ou pas ? Le courage c’est le coeur ! La programmation des téléspectateurs a coupé le lien entre l’intellect et le coeur ! Le viol, se situe à ce niveau.
Les peuples primitifs connaissaient cette opération « magique » !
À quand le port obligatoire du macaron « je suis C****** » délivré par les kommandantur (mairies), les rafles pour les non C****** ?