Et la réduction de la consommation d’énergie vous connaissez ?
L’abandon progressif de la société de l’avoir pour la communauté de l’être ( Francis Cousin / Karl Marx ) ?
L’objection de croissance ( Paul Ariès ), la décroissance programmée ( Serge Latouche ), la sobriété heureuse ( Pierre Rabhi ) ? Ces concepts qui convergent tous vers le même objectif, logique, transcendant, inévitable, indiscutable, divin ?
Les éoliennes, dans un futur pacifié, pourquoi pas, à très petite dose. Aujourd’hui, c’est une double saloperie. Pollution visuelle d’une part, donc pollution existentielle. Mais aussi un alibi de plus pour ne pas remettre en question le dogme de la crôôaassance, de la domination et de l’avidité.
Admettons que demain matin nous perçions le secret du mouvement perpetuel, ou du solaire à volonté sans pollution collatérale... imaginez le progrès : être en mesure de fabriquer 3 avions de combat pour le coût énergétique d’une twingo. S’envoyer tous en l’air, définitivement, face au dieu Soleil.
Commençons par nous confectionner des éoliennes miniatures, histoire de ventiler nos cerveaux passablement engourdis.