On est fort de ce que l’on est et faible de ce que l’on prétend être. On est fort de ce que l’on est ou bien faible d’être ce que autrui veut que l’on soit et qui ne correspond pas à la réalité de son soi, de sa propre réalisation.
Ainsi, celui qui est démuni de valeurs spirituelles ne peut pas déstabiliser celui qui en est totalement imprégné, et celui qui est riche en valeurs spirituelles élève la pauvreté spirituelle profondément déstabilisante et déstabilisatrice.
Il ne tient qu’au pharisien de reprendre sa place dans le grand Tout et dans lequel baigne l’Humanité, grand Tout dont le pharisien s’est lui-même exclu, s’en considérant indigne donc indigné, envieux de ce dont il ne s’estime pas digne et donc, voulant rendre l’Humanité envieuse de ce dont elle n’a surtout pas besoin.
L’Humanité doit comprendre que son destin est lié à celui du pharisien. Le pharisien doit accepter de lier sa destinée à celle de l’Humanité car, toutes les destinées ont la même destination finale.