J’avais 14 ans lorsque mon père a été assassiné par un type de l’OAS à Alger en Janvier 1962. Tout le monde savait qui il était. C’était un civil. Il a été amnistié, comme tous les autres.
Une quarantaine d’années après, nous avons eu de ses nouvelles par sa nièce qui habite tout près de chez moi, en région parisienne.
Que faire ?. On est croyants. On se tait.
Guénon écrit que toute injustice partielle trouve sa place dans la Justice totale. La Justice divine.
Laissons juger Celui qui sait ce qu’il y a dans les coeurs.
Ceci ne veut pas dire qu’il ne faille rien faire pour obtenir justice mais sans bafouer les principes sur lesquels elle se fonde.
Salam.