c’est bien dit dans le film : comme on traite les animeaux, on traite les hommes
Einstein était végétarien, estimant que l’avenir de l’humanité passerait par l’abandon du carnivorisme
j’ai invité Einstein dans mon commentaire pour qu’on ne m’en veuille pas trop de jeter un froid dans les foyers, à l’heure où l’on vient de faire payer, au nom de Jésus, un lourd tribu à nos compagnons sur la terre, pour satisfaire au mythe de l’opulence
en outre, on voit bien que cette viande arrive désormais jusqu’à nous sous une forme lamentable ; preuve que la terre ne peut plus satisfaire nos exigences irrationnelles