on relève de très nombreux points entre féminisme et judaïsme :
le fait de se poser systématiquement en victime sans jamais être capable de se remettre en cause, culpabilisation de l’adversaire afin de le désarmer, recherche du consensus majoritaire et refus total de la diversité (et le tout sous couvert de tolérance !) la pulsion perverse-narcissique…
Comme le rappelle Roger Dommergue citant Otto Vanlinger : “Nous sommes a l’époque de la femme et du juif” .