Entretien avec Camel Bechikh, le président de Fils de France
20 mai 2012 22:51, par Ivan le TerribleAvant que de faire des commentaires sur l’Islam, il faut lire "l’islam des interdits" d’Anne Marie Delcambre, pour éviter de mélanger, la religion, la culture et le passé. Ensuite pour le Boeuf Bourguigon, restons septique quand a l’approbation religieuse par l’islam, en effet ce plat se prépare avec du vin rouge (donc avec de l’alcool). Pour le pseudo héritage arabo-musulmam, arrêtez les contre-vérités (retour a "l’Islam des interdits"). Alors pour ce qui est de la cohabitation, il est important de mettre fin a la culpabilisation de la guerre l’Algérie. Simple rappel de l’Histoire, qui était au pouvoir politique a cette époque : les gouvernements de gauche Socialistes. Qui était Ministre de L’intérieur pendant la guerre d’ Algérie et qui a signé la liquidation des prisonniers du FLN : F.Mitterrand. Les politiques ont décidé, les citoyens ont subit, et les jeunes (appelés du contingent) qui ont été envoyés en Algérie pour le maintien de la Paix et l’ordre, avaient-ils le choix et la possibilité de s’opposer a ce pouvoir politique ? En quoi les jeunes Français d’aujourd’hui devraient être coupable de l’histoire ? Devons nous aussi tombé dans la repentance sur les croisades ? Alors pourquoi ne pas demander des réparations pour la bataille de Poitier et pour la traite des esclaves blancs ? Allez dire ou faire une critique contre l’Islam ou la religion Juive, et vous verrez qu’il est plus facile de dire que les prêtres catholiques sont pédophiles, que de se confronter a la Licra ou SOS racisme. Quand a la phrase de la fin, "l’Islam intègre les cultures locales", quel pays musulman peut nous prouver une expansion ( voir même un simple maintient du nombre de croyant non musulman) d’églises chrétiennes ou même de synagogue (aucun a ce jour) alors pour ce qui est de la tolérance de l’Islam c’est aussi improbable que pour l’intégration dans la République. Conclusion, que la religion reste dans la sphère de l’ordre du privé (comme les aspirations spirituelles et les gouts sexuelles par exemple) et que l’espace de la République reste neutre comme sur un navire ou ni le sexe et la religion n’ont de place. Mais surtout restons certain d’un adage millénaire : a Rome, fait comme les Romains. Accueillons donc les bonnes volontés patriotiques qui se reconnaissent dans les valeurs de la France, et que la couleur de peau, que la religion, ou les orientations personnelles restent dans le domaine du privé. Il est urgent de redonner des valeurs morales a cette société.