L’ex-président de la bourse hongroise dresse un portrait apocalyptique de la fin de la zone euro
29 septembre 2011 01:20, par C.C
un développement du pire scenario, mais qu’il y avait plusieurs possibilités. « Cela peut encore être évité. Cela dépend en premier lieu des Allemands, et en second lieu des citoyens européens, spécialement de ce que la population grecque est capable d’endurer », a-t-il précisé.
Par des mauvaises augures faites sur la catastrophe qui s’abat sur la zone Européenne (par la faute des élites complotistes), il se veut alarmant uniquement pour mobiliser les peuples, de sorte à ce que ces derniers acceptent des solutions "exceptionnelles" pour sauver leurs pays menacés par la banqueroute, en résumé, cette même rengaine : “il faut plus de fédéralisme politique pour s’en sortir, car, force est de constater que dans les Nations souveraines, le roi est nu !”