Pour faire une guerre, il faut des hommes. Si la mobilisation est décrétée, on verra à ce moment qui est prêt à mourir pour la démocratie occidentale.
Certains diront que le courage de refuser s’est vu lors de la crise sanitaire où beaucoup se sont précipités sur l’injection. Il y a quand même une différence : se faire injecter du poison dans les veines n’est pas la même chose que d’affronter la mort sur un champ de bataille. Notamment parce que dans le premier cas, cela a été accepté seulement pour aller au restaurant ou faire un voyage à l’autre bout du monde, pas pour se faire trucider par des drones sur un terrain miné.
De toute façon, si guerre il y a, cela prouvera que les dirigeants ont une dent non pas contre la Russie, mais contre les peuples qu’ils dirigent. Les réduire dans une optique malthusienne ou même s’en débarrasser afin d’avoir une nouvelle main d’œuvre encore plus servile arrivée du sud, et d’enfin remettre l’économie à zéro, est-ce leur projet, comme dirait ce cher Manu ?
Ce qui est certain, c’est qu’on prendra une branlée pas piqué des hannetons.
« C’est dangereux pour les hommes de peu de s’introduire dans un assaut féroce où flamboient les épées de puissants adversaires. » William Shakespeare, Hamlet