Combien y a-t-il de millions de clandestins en France ?
24 octobre 18:46, par AnonymeVoici les éléments qui me laissent sur ma faim quant au procès de la pauvre Lola :
- La scène du bar (source Le Parisien) : un homme est filmé avec Dahbia. Il touche la malle contenant le corps de la pauvre Lola après avoir rabattu sa manche. Pourquoi ? Pour éviter de laisser son empreinte digitale dessus ? Donc cet homme savait ce que contenait la malle. Et pourtant, il n’est pas interrogé à l’audience.
Dahbia B. est très calme dans le bar... pour quelqu’un qui vient de commettre l’irréparable.
- Des témoins auraient entendu Dahbia B. crier cette phrase au pluriel : "Ils l’ont fait." Cette information a été écartée du procès. Pourquoi ? Pour s’en tenir coûte que coûte à la version officielle ? On tient l’assassin, circulez, il n’y a rien à voir ?
- Déplacement d’une malle lourde à travers Paris pendant une alerte enlèvement, avec des caméras partout, sans attirer l’attention.
- Rituel d’abus sexuel et chiffres 0 et 1 inscrits sur les pieds de la victime, qui signifient passage du visible à l’invisible selon le sataniste du 33ème degré maçonnique, Aleister Crowley, dont le culte intègre parfaitement l’abus sexuel et le sacrifice d’enfants. (Source Reddit). Aucune trace au procès.
- Il n’existe pas de ritruels de sacrifice humain en Afrique du Nord. Chez l’oligarchie occultiste et sataniste, oui. D’ailleurs des milliers d’enfants disparaissent annuellement en France dont un grand nombre reste inexpliqué. Faut-il relier les deux informations ?
- Surtout après le don de Michael Bloomberg, multimilliardaire américain, ancien maire de New York, bête noire de Trump et ami d’Epstein. Bloomberg n’est pas entendu au procès.
- Réception rapide à l’Élysée. A la demande de Bloomberg ? Il était un des parrains de la campagne de Macron en 2017.
- Aucune reconstitution du crime n’a été faite. Ni le transport de la lourde malle du bar. Il y avait d’autres valises.
- Dahbia B. serait-elle, à l’image de Dutroux et Emile Louis, une simple exécutante à qui on fait porter le chapeau ? Si oui qui lui passait commande ? Qui la protégeait ?
- Ni les troubles mentaux de Dahbia B. (le psy dit le contraire) ni le rituel d’enfants Zhouri ne suffisent à faire taire tous ces questionnements. N’est-ce pas le rôle d’un procès d’éclaircir toutes ces zones d’ombre ? Maintenant, si on est absolument sûr que c’est elle seule qui a commis l’irréparable, elle mérite amplement sa peine.

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