Badinter a défendu les pires raclures.
Il est la jonction des racailles du bas et
d’en haut.
C’est la parabole du sanhédrin et de Barabbas.
Pour lui la peine de mort s’applique
uniquement pour les victimes.
Je serai curieux de connaître les statistiques
des homicides, féminicides et infanticides,
avant et après la peine de mort.
La douleur des familles de victimes n’existent
pas pour cet avocat sauf si elle le touche
personnellement.
C’est lui aussi qui avait traité le professeur
Faurisson de "faussaire de l’histoire".