"il (Bercoff) cherche à achever la bête, ce service public truffé d’escrocs et de médiocres surpayés. Là-dessus, on lui donne raison, au Dédé. Il y a des combats qui rapprochent."

Ne vous y trompez pas ; si le service public audiovisuel est détruit de l’intérieur, comme pour tous les service publics, SNCF, Hopital, Compagnies Aériennes Nationales etc...) ce n’est pas pour le rendre plus performant :
Le but est que les Français constantant que ça ne fonctionne pas et que c’est corrompu jusqu’à l’os, deviennent réceptifs à la suggestion que ça devrait être privatisé pour éviter le gaspillage et la gabegie, et acceptent que l’on vende pour un euro symbolique ce bien commun payé par nos impôts et mit volontairement en faillite, afin que les petits copains sionistes puissent racheter ça pour une bouchée de pain, et ainsi, posséder l’intégralité des médias.

Plutôt que de souhaiter voir "achever la bête", le bon sens nous commanderait plutôt de réclamer à corps et à cris que le Service Public deviennent un vrai service public, et non pas un service privé israélien payé par le public français.
ça passe non pas par une privatisation, mais par l’expulsion de tous les corrompus et agents au service de l’étranger. Chose qui parait évidemment impossible avant la Libération, puisque les organismes de contrôle supposés garantir l’indépendance du service public sont eux même corrompus et au service d’Israël ; et les politiques supposés contrôler les contrôleurs, ont eux même adoubés les organismes de contrôle sionistes.
Donc on n’est pas sortis de l’auberge. Mais on le sera encore moins quand tout aura été privatisé et aux mains des ennemis de la France.
Ce qu’on peut faire à minima : dénoncer chaque fois que possible les causes de la pourriture de l’Etat et des services publics, plutôt que juste faire la constatation de la putréfaction ; boycotter tout ce qui n’est que propagande, même si (comme ils sont doués pour le faire) cela semble avoir le goût, la couleur et l’odeur du nationalisme, mais qui en fait n’est qu’un National-Sionisme.
Le boycott fonctionne (en tout cas sur eux), car c’est pour eux ce qui est la pire des punitions (s’en prendre à leur argent bien-aimé), qu’ils appliquent libéralement partout depuis 1933, que ce soit sur l’Allemagne, la France, l’Iran, la Corée du Nord ou la Russie.
Un exemple de boycott qui fonctionne : les chialeries de Carrefour, de Meta, des producteurs de mangues israéliens, toutes les marques qui promouvaient le woke aux USA.