Violences : l’américanisation de la France réactive la lutte des classes
30 septembre 04:56, par IncognitoLa classe d’en bas est vérolée par l’immigration. Les prolétaires d’origine européenne subissent de manière frontale la promiscuité des migrants clandestins de l’Afrique subsaharienne. A la société de l’occident collectif,divisée en classes sociales antagonistes, s’est ajoutée la fracture immigrationiste qui a fait voler en éclats la cohésion sociale. Il y a une classe paysanne d’en bas, qui, vivant chichement dans les campagnes, de la terre, de l’artisanat ou du petit commerce, est encore préservée des ravages de la société multiculturelle sur l’identité qui, dans les villes, noient l’individu dans les réalités immenses d’un prolétariat et d’un « lumpen prolétariat » venus de tous les coins de la planète pour former des communautés avec des mœurs et des rites anachroniques. Les classes ont toujours existé depuis l’octroi de droits individuels faisant écho à l’individualisme dont les bases ont été jetées, comme du granit, par le code civil napoléonien , dans un souci de parachèvement de l’œuvre révolutionnaire des constituants. Les incivilités se sont seulement aggravées avec la baisse des niveaux de vie et la pression sociale liée à la présence migratoire, sorte de « melting-pot » qui pèse sur les esprits en infusant un sentiment de déracinement, d’arasement de l’être, sur le sol d’une nation aux mœurs et coutumes ancestrales préservées tout au long d’une histoire européenne, pourtant émaillée de guerres fratricides. Chaque individu est inconsciemment porteur d’un attachement spirituel à la terre de ses ancêtres . Les classes sociales ne poursuivent pas qu’un but matérialiste dans la vie ! Le libéralisme qui a produit 500 000 milliards de dettes dans le monde, pourrait tenter d’assurer sa survie par un recours à la guerre. La famille Rothschild qui a vendu son portefeuille d’actions, en 2018, pour acheter des centaines de kilos d’or a pris en compte le risque de guerre ou d’effondrement économique. La classe moyenne perdrait tout et serait confrontée aux spéculateurs d’en haut venant la spolier de ses biens. Comme à l’époque de la république de Weimar ! Le fascisme sera alors appelé à sauver le capitalisme avec l’appui de la classe d’en haut mais la banque sera mise au service de la Nation. Ce que beaucoup ne comprennent pas, c’est que Hitler représentait certes un poste avancé de la bourgeoisie, mais il était quand même dans la bourgeoisie !