Erika Kirk est en plein deuil, ses enfants n’ont plus de père, elle n’a plus l’homme de sa vie... Tout d’abord mes pensées à elle et ses enfants, comme à tous les orphelins, veufs et veuves de par le monde. Je dis cela pour la décence et pour séparer le drame humain (universel, mais à chaque occurrence subjectivement horrible) de l’analyse politique ou idéologique.
Le pardon d’Érika Kirk est émouvant et fort, puissant spirituellement. Mais...
Politiquement, ici, son pardon est adressé à un très probable pigeon (patsy), un jeune adolescent débile incapable de planifier et exécuter cet assassinat.
Pardonner un État et son organisation terroriste (le Mossad), qui a sciemment, volontairement, intelligemment et méticuleusement planifié, organisé et exécuté la mort de son homme, de celle du père de ses enfants, cela serait sans doute autre chose (mais elle en autait peut-être été capable, je ne peux pas être catégorique).
En ce sens cette cérémonie et le pardon d’Erika Kirk entérinent, pour le grand public, la version officielle et fausse de l’assassinat, en dédouanant ainsi publiquement Israël.
Ils ne veulent peut-être pas faire autrement (est-ce un choix de Trump, d’Erika et des autres ?), afin que les états-uniens chrétiens et anti-woke communient dans le pays entier, mais en tout cas cela dédouane le vrai coupable aux yeux du grand public.