Dès le début des années 60, le grand Raymond Abellio parlait déjà de l’éfféminisation de la société et de l’art en particulier. Il dénonçait ainsi la confusion faite entre l’homme féminisé (celui qui a intégré la part invisible de la féminité et n’a rien perdu de sa virilité) et l’homme éfféminé ( celui qui adopte la part visible de la féminité et est peu ou faussement viril) distinction que, à ma connaissance, Soral ne fait pas. Ce n’est donc ni Zemmour ni Soral à avoir le premier traité de cette question, mais bien Raymond Abellio. Ceci dit, j’ai beaucoup de respect pour Soral. Ceci dit, je recommande de lire également Abellio.