J’ai arrêté de regarder à la phrase : "l’affaire Dreyfus est passée par là." Je sais bien qu’il faut des précautions oratoires mais quand même ! Déjà qu’elle nous parle de "pogroms" sans contextualiser.
C’est exactement le narratif du 7 octobre. Comme si rien ne s’était passé pendant 75 ans d’occupation, d’humiliation et de vols de territoires qui ne leur appartenaient pas.
En tant que Goy saint d’esprit jamais je ne reconnaîtrais la valeur cadastrale de la torah. C’est soit une bible soit un plan d’occupation des sols. Il faut choisir. Et si on opte pour le cadastre, il faut un acte notarié. Point.
Le narratif des pogroms, comme pour le 7 octobre, doit être "debunké."
En fait, dans tous les soi-disant "pogroms" ce qui s’est passé c’est le scénario suivant. Ils arrivent dans une contrée. Comme c’est un peuple "d’élite, dominateur et sûr de lui-même" ils vont occuper les postes d’influence et de pouvoir. Exemple, ils sont agents immobiliers. Ils ne vont favoriser que leur coreligionnaires pour vendre, acheter, louer à tel point que le Goy, même propriétaire, devient leur obligés. Devant un tel "apartheid’ les Goys vont finir par se révolter et on va appeler ça "un pogrom" contre de pauvres juifs innocents !
C’est ce que la propagande officielle du 7 octobre avec "mon colonel" (une honte qu’un civil, journaliste qui plus est, appelle un militaire par "mon colonel" réservé aux bidasses subalternes) qui a accès aux médias de grande écoute en France pendant de longues minutes complaisantes où le propagandiste nous parle du "droit d’Israël à se défendre" alors que ce sont eux les agresseurs face à une population civile de femmes, d’enfants et de vieillards désarmés. Sans jamais préciser que l’entité sioniste (entité parce que pas de frontières fixes comme pour tout Etat) est une puissance nucléaire !
Alors soit on a les burnes de dire la vérité (la vérité vous rendra libre !), soit on ne l’ouvre pas !