GAZA, et le génocide qu’y s’y perpétue, servent de canalisation à la débâcle du socialisme globaliste des 68tard. Rima est le bouclier de tous ceux qui se sentent cocufiés par une nouvelle droite, toute aussi globalisante, qui est en train de reprendre les manettes des états un peu partout en Occident.
Mais ne nous y trompons pas... cette droite demeure pro NOM et c’est tout ce qui compte pour la caste en arrière-plan. La guégurre gauchards / droitards ne sert qu’aux gueux d’ici comme ailleurs.
Il est évident que GAZA ne sera pas sauvé. Les apparentes contradictions de Trump tiennent sans aucun doute à son gros projet immobilier sur la terre des gazaouis, avec lequel il collabore avec Jared Kushner et un autre ricain).
La mort en masse ne sert jamais les causes nobles dont se réclament les combattants sincères. Rima ne le sait sans doute pas, mais sa notoriété de "Jeanne d’Arc" sauveuse des gazaouis n’est médiatisée que parce qu’elle occulte les grandes manœuvres croustillantes en arrière-plan.
Ceux, que les gueux croient être des ennemis, n’en sont pas. Ils s’entendent sur le partage du monde et qui-bouffera-les-miettes ( les nouveaux peuples ?). Et au risque d’en agaçer quelques uns, je dirai que la Russie de Poutine, la Chine de Jin Ping et l’Amérique de Trump sont, sur le fond, tout à fait d’accords sur le partage du nouveau gâteau mondial en marche.
Les multinationales de ces trois géants ont parfaitement pigé que l’UE était une pétaudière qui fera la voiture balaie en échange de quelques boites de cirage. La prochaine guerre mondiale sera celle entre les titans du nouveau Gros Business Mondial. Les migrants ne le savent pas, mais ils seront à l’évidence les nouveaux esclaves de ce NOM que le maître du MAGA tente de mener avec ses partenaires de la Tech-Business sans frontière.