Tous les aspects de la problématique guerrière sont clairement exposés.
Au delà de la menace bidon (l’Iranien, le Russe, le Chinois), il s’agit de brandir au travers de la guerre la peur.
La démocratie libérale, à bout de souffle en Occident, reposait traditionnellement sur l’espoir que demain était mieux qu’hier.
La démocratie illibérale qui la remplace désormais repose sur des peur oppressives : la pandémie, le climat et désormais la guerre.
Ces trois peurs ont un point commun : des dépenses de l’Etat absolument considérables sans rapport avec les besoins de la majorité des citoyens.
Ces dépenses constituent un relais de croissance dans une économie capitaliste qui est en train de s’effondrer.
Jetez un coup d’œil sur la bourse en ce moment et vous comprendrez !