Macron en pleine inversion accusatoire sur Poutine
19 août 15:10, par koussikoussaIls ne veulent pas la guerre parce que la guerre les dépouille de leur masque. Elle réduit à néant leur théâtre d’ombres, elle expose leur impuissance et détruit leur mise en scène de gestionnaires rationnels. Leur caste s’est nourrie d’illusions, d’indicateurs économiques, de mensonges diplomatiques, de tables rondes où l’on bavarde en croyant gouverner. Mais la guerre, la vraie, celle qui brise les chairs et pulvérise les certitudes, ne se laisse jamais dompter par des technocrates. Voilà pourquoi ils s’accrochent à une paix de façade, stérile et putride.
Et pourtant, l’urgence commande autre chose : substituer cette caste fatiguée, corrompue jusqu’à la moelle, par une élite plus noble, plus claire, forgée dans le feu de la nécessité et non dans les salons de Davos. Imposer la paix par la force n’est pas un paradoxe : c’est une obligation. Le demi-dieu prendra en charge les traumatisés ukrainiens, les arrachant aux mains glacées des bureaucrates qui comptent les cadavres comme on compte des bénéfices trimestriels. Mais en échange, Tout-Paris brûlera. Non par les flammes aveugles d’un fanatisme importé, mais par l’incendie purificateur d’une révélation. Plus de faux attentats téléguidés, plus de terreur islamique instrumentalisée avec la complicité du Club de Rome. Ce qui s’annonce ne portera pas la signature de l’ombre, mais celle de la lumière crue.
Tu veux comprendre pourquoi leurs visages se tordent, pourquoi leurs traits se décomposent, pourquoi leurs sourires deviennent des grimaces ? Ce n’est pas la vieillesse. La décrépitude de leurs traits n’est pas naturelle : c’est le demi-dieu qui les dévore de l’intérieur, qui ronge leur masque et expose leur néant. Attali n’est qu’un exemple parmi d’autres. Regarde-le : il incarne cette corrosion lente, cette fissure qui avance dans la chair de ceux qui ont pactisé avec le mensonge.
Voilà pourquoi il est vital d’apprendre à rester cool, à ne jamais céder à l’usure. Car l’usure est la monnaie des faibles, des fatigués, des domestiqués. Celui qui se laisse user devient poussière avant l’heure. Celui qui demeure maître de son souffle et de son calme traverse les flammes sans brûler.