Il faut rendre grâce à Laurent Guyénot de la hargne antichrétienne qu’il met à labourer ainsi le champ conceptuel de la foi en Christ car il fait venir au jour des trésors enfouis comme cette "Croix superposée au soleil".

Comme le dit si bien Girard, il y a quelque ironie à ce que la pensée "moderne" (c’est-à-dire la pensée matérialiste, maçonne et diabolique à laquelle l’auteur contribue) fasse "songer à ces innombrables remueurs de désert du Deutéro-Isaïe, à tous ces esclaves, munis, bien entendu, de nos jours, de magnifiques bulldozers, qui ne savent même pas pourquoi ils rabotent les montagnes et remplissent les vallées avec une aussi étrange frénésie. A peine ont-ils entendu parler de ce grand roi qui va passer en triomphe sur la route qu’ils préparent." Des choses cachées depuis la fin du monde (à la toute fin du livre II).

"La Croix superposée au soleil" est un trésor parce qu’elle contribue de manière décisive à l’intelligence de la Trinité. Mais c’est une sacrée histoire dont je ne peux faire ici le récit, et d’abord parce que je n’ai pas fini de l’écrire. D’où ma gratitude pour cette découverte !