Les limites de l’antiracisme au cinéma
27 juin 10:03, par Paul
Je pense que la qualité du film est secondaire. Ces gens savent où il faut gratter l’argent, ils connaissent mieux toutes les combines pour avoir les allocs que n’importe quel français.
Ici, ils savent que le cnc va signer des chèques pour une production qui va parler du racisme, des gentils noirs victimes, et des salauds blancs.
En gros, on a affaire ici à des entrepreneurs un peu plus entreprenants que celui qui entreprend de remplir un dossier pour la caf.