Pour ne pas sombrer dans la désespérance j’ affirme côtoyer, quotidiennement, dans ma ville moyenne du S.O, 100.000 habitants, dans le bus ou les magasins,des garçons et des filles ne ressemblant, Dieu merci, en rien aux abrutis décervelés que nous sert "le net" si mal nommé ...car en draine des "pas nets" la toile...La toile et l’araignée, entre parenthèses , étaient, au Moyen-âge , l’une des images qu’on employait pour évoquer les pièges du démon, fourbe, à l’affût, guettant sa proie ; à quoi bon relayer de telles absurdités : le virtuel draine des images, construit donc un imaginaire... déprimant mais ne reflétant nullement le réel ni la diversité du "vivant" incarné, diversifié, surprenant que je croise dans "la vraie vie"...