Ordre de l’Élysée à tous les médias : les cent jours de Trump sont une catastrophe
3 mai 18:06, par Lames d’acierTrump, c’est une lueur vacillante d’espoir dans un monde capitaliste qui n’accumule plus assez de capital. L’industrie du luxe a mangé son pain blanc. Pour éliminer les dettes des états, ce sera soit une monnaie digitale pour contrôler les dépenses de consommation et d’investissements, soit une guerre pour détruire du capital et instaurer une société de surveillance. Trump a tort de passer en pertes et profits les massacres par Israël des dizaines de milliers d’enfants, véritable relève démographique d’un peuple palestinien aux abois qui n’aspire qu’à vivre enraciné sur la terre de ses ancêtres alors que la mort d’un otage juif, victime collatérale des bombes israéliennes, suscite chez Trump, à l’unisson avec les journaux sionistes versant dans la compassion la plus extrême , une série d’atermoiements qui suffisent à le ranger indéfectiblement dans la catégorie des sionistes. L’Amérique doit cesser toute aide à Israël qui doit se débrouiller seule, comme l’UE privée du financement américain à l’Otan. Son intérêt commande de rechercher l’équilibre au MO pour se recentrer sur le développement de son marché intérieur. Après 100 jours, la croissance patine, l’inflation augmente, la FED veille à ce que les taux d’intérêt ne baissent pas, les droits de douane se réduisent comme peau de chagrin sous la pression de la haute finance mondialiste qui a fait chuter Wall Street. L’ouvrier avec l’ingénieur et le paysan sont les piliers d’une nation. Ce sont eux les héros, pas les stars sur papier glacé . L’Amérique doit aller chercher sa MO qualifiée au Sud pour réindustrialiser VITE en attendant de revaloriser le travail manuel dans l’esprit des WASP pour former la jeunesse à ces métiers en les payant suivant leur valeur ajoutée. La création de la valeur doit être la variable d’ajustement des salaires. L’Amérique doit concevoir sa frontière sud comme une écluse ne laissant filtrer qu’une immigration de travailleurs qualifiés ou capables pour rouvrir ses industries. Le redressement passe par l’expulsion des clandestins, des parasites et autres incompétents. Quand il y aura des bras forts dans les usines, le wokisme s’étiolera face à l’image puissante du prolétariat que rejoindront des américains de souche formés aux techniques de production, rendant l’immigration de moins en moins utile. Bref, mettre l’Amérique sur les rails d’une dynamique industrielle suppose des relations équilibrées avec le Sud des US et entre les nations du MO