Fabrice Di Vizio face à Alain Soral sur GPTV
10 mai 12:01, par Saturnin PompierOn est dans un cul-de-sac. Et on nage dans la contradiction. On félicite et on encourage les Palestiniens pour leur résistance (même armée) face à leur Grand Remplacement (qui est très avancé, mais qui n’a pas abouti entièrement), et on ferme les portes à notre propre résistance (violente) face à notre propre Grand Remplacement. Quand on crie "Palestine will be free !", on dit aux Palestiniens : "Continuez le combat, ne vous rendez pas, la victoire est au bout du chemin". En même temps, on dit : "Ici, non, franchement ce n’est pas la même chose, il faut faire différemment, parce que...".
On se dit : "Chez nous ce n’est pas possible, une telle voie n’est pas envisageable". On ne peut pas le faire, parce que les conditions ne sont pas les mêmes (les réalités et les circonstances sont différentes, etc.), bien sûr, mais surtout parce que nous ne sommes pas capables d’endurer les sacrifices que les Palestiniens endurent.
Quand j’entends ce genre de débats et certains arguments, je pense à ce type qui a un problème avec l´alcool mais qui dit : "Bon, d’accord, j’ai des emmerdes avec la bouteille, mais je vais me contrôler et tout va bien se passer". Il finit avec le foie bousillé, à l’hôpital ou à la morgue. La bonne solution eût été de cesser de boire, pas de "faire avec".
Colonisation militaire ou submersion démographique : le résultat est le même.
Les Algériens ont commencé leur combat (leur libération, leur révolution, nommez ça comme vous voudrez) avec quelques fusils de chasse. Et des couilles. Ils ont atteint leurs objectifs après des années de guerre et des centaines de milliers de morts. C’est ce que les Européens, ramollis, efféminés, lâches, cons comme leur cul, gavés de télévision, de chocolat et de Coca, et qui ne pensent qu´au week-end et aux vacances au Portugal ou en Thaïlande, ne feront jamais, c’est inimaginable. À part que les gouvernements (les élites) ne feront jamais rien pour résoudre un problème qui n’en est un que pour le troupeau bêlant qui se laisse mener par le bout du nez.
Donc, la voie violente contre la disparition du peuple français n’ est pas envisageable pour deux motifs principaux : les élites travaillent au Grand Remplacement (ils appuient constamment sur l´accélérateur) et les victimes de ce Grand Remplacement marchent à l’abattoir sans rien dire parce qu´ils ne voient pas ou ne comprennent pas ce qu´il leur arrive.
La France a une cirrhose avancée. Que doit-elle faire ? Réduire la dose d’alcool suffira-t-il ?