Ce que ces journalopes ne pardonnent pas à Trump, ils ne peuvent pas l’avouer : c’est en réalité que les coupes budgétaires opérées dans USAID qui finançait les principaux medias mainstream, français et de gauche notamment, les condamnent à mordre la poussière à brève échéance.
Comme ils doivent bien sentir que le public qui leur a tourné le dos, attend cette chute avec gourmandise, ils se vengent à coup d’anathèmes. Quitte à verser dans le grotesque.