Succession au WEF : Peter Brabeck, l’ex-boss de Nestlé, pire que Klaus Schwab
26 avril 18:25, par SinabilIl faut urgemment sortir du paradigme triangulaire de Karpman (Persécuteur, Sauveur, Victime) imposé par l’ensemble des narratifs politiques et dissidents, pour aligner des faits qui permettent de penser le présent invisible et l’avenir programmé.
Les dites "élites" ont au moins 20 ans d’avance sur le bétail humain en terme de technologie. Tous les gouvernements officiellement "élus par le peuple" disposent d’informations dans tous les domaines qu’ils maintiennent hors de portée du bétail productif, et signent des accords et traités internationaux engageant son destin et celui de ses enfants, sans l’informer du contenu, et sans lui demander son avis, tout comme un fermier ferait avec ses vaches qu’il aime tant.
la technologie (informatisation, automatisation et robotique) disponible permet de se passer de plus de 80% du bétail humain pour faire fonctionner l’appareil productif.
le travail est devenu obsolète dans un monde où la recherche du profit est un archaïsme, or la croissance du troupeau du bétail humain est intrinsèquement liée à cet ancien ordre mondial.
tous les dirigeants du monde s’accordent sur la mise en place d’un modèle de société de type ruche, fourmilière ou termitière, avec un matériel fonctionnel (robots et humains) dont le volume est paramétrable et dont l’utilité est la seule raison d’être.
la notion de développement durable et de salaire universel prônée par les manipulateurs élus et les naïfs a été conçue par les descendants des élites eugénistes du 19e siècle et est actuellement gérée par leurs héritiers idéologiques.
les peuples "souverains" ne font pas partie de l’équation politique et géopolitique, et ces sociopathes eugénistes n’ont pas conçu des robots de remplacement du matériel humain et une technocratie "parfaite" pour y intégrer le public d’Hanouna et ceux qui étaient prêts à se faire injecter n’importe quel jus expérimental à la composition inconnue pour pouvoir boire une bière bio artisanale en terrasse.
les brevets des injections Covid précisent que le dispositif injectable permet de libérer des nanoparticules et des polypeptides selon une périodicité contrôlable et paramétrable en jours, semaines, mois et années.
La question centrale est : dans un modèle politique qui met le facteur humain hors équation, sommes nous des moutons et des brouteurs devenus inutiles uniquement pour le grand méchant loup à la tête du WEF ?