Marketing ; en bon Français, car le Français a vraiment tous les mots qu’il faut selon la bonne vieille logique gréco-latine, dont beaucoup sont d’ailleurs devenus Anglais et pas l’inverse et qui n’a pas non plus besoin du procédé syntaxique Allemand de création de concepts à l’aide de vocables à rallonge. Marketing, en bon Français : ’’ marchandisation’’. Ou, comment doper les ventes, généralement d’un nouveau produit. De grosses ficelles de mercantis pour fourguer leur camelote, qui fabriquent pour cela un soi-disant marché, dans une soi-disant attente, et un soi-disant enthousiasme. Un battage entretenu par des agences de publicité. En fait, quelque chose qui ressemble à une tapette à rat. Des acronymes mystérieux, des promesses relayées en boucle par tous les suivismes et autres paraplégiques de la critique que la ’’nouveauté’’ fascine. Prenez l’IA, dernière en date des balançoires, la pauvreté de son argumentaire mais l’ampleur de tout ce qu’il lui faut de matériel et d’énergie, sans que l’on sache à quoi cela va pouvoir vraiment servir, pour sa ruée dans des itérations chaotiques interminables, dont est sensé sortir quelque chose de pertinent, sans que personne sache pourquoi...Ce qu’auparavant on appelait juste un pur gadget. Mais là, ça va vraiment coûter une blinde aux couillons.