Pour un retour aux sources sur la question, Sacha Guitry avait écrit que chaque femme avait besoin de trois hommes :
un de soixante ans pour le chèque,
un de quarante pour le chic,
un de 20 pour le choc.
Un fin observateur de la gens féminine disait que pour 10 italiennes superbes, on trouvait une française jolie, parce que les italiens se marient par amour tandis que les français par intérêt.
Il est bien évident qu’on retourne à la courbe de Laffer. Si l’état ne piquait pas tant pour abreuver le train de vie des petits copains, on pourrait mieux mettre de vit aux trains. La politique est la carrière des alcôves.
Un raffinement du rapt primitif ?
L’union, chez la femme, comme précise le paradigme de Weininger, est le fait de :
la courtisane, où la finalité est tournée en moyens,
la mère qui vise la progéniture,
la sainte, assoiffée de sublimation dans la monade.
La finalité de l’autre est donc pour elle du fric, du sperme, une complémentarité spirituelle. Comme d’hab, mieux vaut ne pas exclure et répartir les trois pôles dans le temps.
Un système de valeurs où coeur et sexe sont polarisés en bien et mal, serait donc peut-être un système construit pour se réserver les femmes, se disent certains esprits sagaces.
Pour approfondir faudrait en faire l’histoire sur le long cours.
Rien ne donne autant d’énergie que l’amour, seule vérité. Ebriété saine.