Ça me rappelle l’esprit cabane de « La guerre des boutons » ! Des petits français comme nous les aimons. Lorsque la chute irrémédiable, en cours de l’Empire du Capital touchera le fond tel un Titanic, ce sont toutes ces initiatives, compétences dont nous aurons besoin pour nous mettre à l’œuvre pour construire notre nouveau monde de cabanes par de la récup. Fin de la bourgeoisie et de son comportement d’hallucinée, médiocre, duplice du système. C’est sur les déchets du Capital que le monde de petites communautés renaîtra comme des enfants très adultes dans leurs têtes, non infantiles, que nous prendrons, naufragés du Capital, non pas « Deux ans de vacances* » sur notre France rurale et citadine ravagée, mais un envol définitif vers notre paradis Atlante rétabli dans ses normes ontologiques. (* Jules Verne)