La CIA a recherché Hitler pendant 10 ans après 1945
15 avril 06:57, par Incognito
La légende de l’exfiltration d’Hitler contredit le récit de la pureté de la race , de cette supériorité réelle ou supposée de la race blanche, à laquelle la propagande associe le personnage victime de son soi-disant délire raciste. Pareille hypothèse ne résiste pas à l’épreuve des faits. En effet, si Hitler était raciste , il n’aurait jamais pu survivre à son Reich de mille ans. Lui, l’eugéniste qui menait des expériences sur l’homme pour parvenir à créer une race des seigneurs , comment aurait-il pu vivre dans une société fortement métissée d’Amérique du Sud, qui plus est en Argentine qui compte la plus puissante communauté juive du continent latino-américain. Si certains croient à ce genre d’affabulation née dans l’esprit des membres de la communauté de lumière qui le croyaient encore vivant en 1975 , au Paraguay, société multiraciale comme le Brésil, alors toute la théorie de la supériorité de la race, fondement de l’idéologie nationale-socialiste, s’effondre de tout son poids. Il faut aussi se demander si Hitler aurait voulu vivre pour assister à la domination de la finance mondialiste qui manipule par des ingénieries financières ou sociales les économies de toutes les sociétés, dans le monde entier. Pour les historiens officiels, toute la politique d’Hitler se réduit aux camps de la mort et à l’Holocauste, faisant presque apparaître le goulag soviétique comme une sinécure. Dans leur sillage, des esprits influencés par la version stalinienne échafaude le mythe de la survie de l’homme le plus honni de l’Histoire, dans des contrées créolisées. Cette posture prouve une fois de plus que la supériorité de la race blanche n’était envisagée que dans un contexte de lutte contre la domination du peuple élu dont les émissaires , certains venus d’outre atlantique, avaient profité de l’hyper inflation pour spolier d’une partie de leurs biens des allemands en voie de déclassement, moralement abattus et très culpabilisés.