L’affaire hautement symbolique des Justes de Vendôme dans le Loir-et-Cher
14 avril 07:54, par Marsouin
Jeanne et Jean Philippeau , mes grands oncle et tante dont je ne connais que les prénoms pour les avoir parfois entendu quand mes parents parlaient avec d’autres membres de la famille.
Je doute fort que s’ils étaient encore vivants ils demandent à être reconnus comme quoi que ce soit, surtout dans le climat actuel.
De plus, d’autres chez moi ont caché des fuyards de divers origines en cette période, dont un soldat Allemand ,fermier de son état mais enrôlè de force et qui ne demandait qu’à rentrer chez lui, une anecdote comme tant d’autres que j’ai entendu toute mon enfance.